Ciné-débat : lire, à quoi ça sert ?

Le 26 novembre, vingt personnes dont deux ados ont voyagé grâce à la sagesse de l’Image, et dans le temps et dans l’espace.
Les extraits de film proposés nous mettaient l’eau à la bouche. Les grandes œuvres littéraires ou cinématographiques ne périssent pas et sont à offrir à tous.

Nous avons découvert des extraits de « L’histoire sans fin », et « Le camp de Noisy ou l’inversion du regard », films portés sur la place donnée aux livres. « On donne les mots pour exprimer les choses », souligne l’une des personne présente.

Se plonger dans les livres ou le cinéma, pour s’ouvrir à l’autre, pour voyager sur place, pour entrer dans la langue… C’est aussi une émancipation, de pouvoir décider et faire soi-même. Alors, les rapports au monde changent. Mais aussi le rapport avec la famille, les amis, l’école : apprendre par soi-même et permettre une ouverture réciproque à la différence, faire basculer le sentiment d’échec…

D’autres extraits ont été retenus dans les œuvres suivantes :

  • L’échappée, de Joelle Stechtel
  • Le manuscrit trouvé à Saragoos, de Wojiec Has
  • Princess bride
  • M, de Sara Forestier
  • La tête en friche, de Jean Becker
  • Kerity la maison des contes, de Dominique Monféry
  • L’argent de poche, de Truffaut
  • L’Esquive, de Abdellatif Kechiche
  • Fahrenheint 451, de Truffaut (d’après l’oeuvre de Ray Bradbury)
  • La voleuse de livre, de Brian Percival (d’après l’oeuvre de Markus Zusak)
  • Ex Libris : The New York Public Library, de Frédéric Wiseman
  • Théorème, de Pasolini
  • Interstellar, de Christopher Nolan

 

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